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On a rainy night | Wang Tian
Xiao Hua Feng
Ordre de la Sphère Céleste | Agent de liaison
Xiao Hua Feng
Feat. : Kris Wu
Âge : 30 ans
Statut civil : Célibataire
Classe sociale : Pauvre
Occupation : Agent de liaison pour l'Ordre. Lorsqu'il faut parler aux vampires ou aux chasseurs indépendants ou que ceux-ci veulent s'adresser à l'Ordre, Hua Feng est un de ceux qui établit le contact entre les deux parties.
Taille et poids : 1m88 + 78kg
On a rainy night | Wang Tian Kriskris-57537e4
Messages : 842
RPs : 77
Pseudo : Aries
Autres comptes : Han Lawrence + Ryeo Adrian + Rosenbach Haruya + Mangjeol Nam Il
___________FICHELIENS

On a rainy night | Wang Tian Giphy-56de43d
Mer 8 Juil - 3:23

Janvier 2020

Ça ferait bientôt trois semaines que Hua Feng était en Chine. Quel sentiment étrange que celui d’être de retour parmi les siens, là où il avait grandi. Il logeait forcément au quartier général de l’Ordre de Beijing. Ironiquement, la petite chambre qu’il occupait était plus grande que son goshiwon. Ici, on était généralement heureux de le revoir. Ou au moins, ça ne semblait pas être un événement désagréable. Il aimait discuter à nouveau dans sa langue maternelle. Mais, il réalisait qu’en un peu plus de quatre ans passé loin de la maison, il était devenu un étranger, notamment quant au travail qui était effectué au sein de l’Ordre. À Séoul, il était un des meilleurs agents de liaison. Tant et si bien qu’on lui avait finalement confié, par la force des choses, le lien important entre l’Ordre et le conseil vampirique de la Corée. Ici… Ici, il réalisait que ces dernières années, le conseil avait bougé et il ne connaissait même plus ses figures emblématiques. C’était tellement étrange.

Mais on avait dû rappeler à Hua Feng qu’il n’était pas ici pour travailler. Alors finalement, cette nuit, il était sorti simplement pour se changer les idées. Armé, comme d’habitude. Parce qu’on ne passe pas sa vie auprès des vampires pour les sous-estimer la minute d’après. Il trouvait toujours très insensé ces gens qui pouvaient s’offrir de la Crysalis, mais ne le faisait pas. Pour sa part, il avait de bonnes raisons. Des raisons de confiance à gagner. Ça se faisait dans les deux sens… et les vampires avec lesquels il parlementait appréciaient qu’il ne s’injecte pas. Or, il pouvait se défendre… bien que ça ne soit pas sans dangers. Et justement, parlant de danger, depuis quelques minutes il se sentait suivi. C’était comme une mauvaise impression à laquelle on ne pouvait apporter de preuves.

La pluie commence à tomber au moment où Hua Feng tourne dans une ruelle qu’il connaissait bien pour l’avoir arpenté pendant plusieurs années. Il grogne un peu. Cette nuit, ça risquait de glacer, parce que les températures étaient légèrement sous zéro. Ça leur ferait un beau résultat… Sauf qu’il ne se débarrasse pas du sentiment désagréable d’être suivi. Et quand il réalise que la ruelle qu’il pensait si bien connaître avait changé ces dernières années et qu’il était maintenant face à un grillage, comme un bleu aurait pu s’y laisser prendre, Hua Feng pousse un petit soupir. Il se retourne, contemplant la semi-obscurité qui révélait une grande silhouette fine, mais masculine. Les lampadaires n’étaient pas placés de sorte qu’il voit le visage. Du moins, pas avant que quelques pas soient faits… et qu’il réalise qui il avait devant lui.

« Wang Tian. », murmure simplement le grand Chinois. Ses épaules se détendent un peu, bien que pas complètement non plus. Certes, membre du Conseil… mais il ne le connaissait pas encore personnellement. Ce qui saurait le rassurer un peu plus, c’est qu’il était un ami de longue date de Yuan. Mais encore là… Mieux valait être prudent. « Quelle coïncidence. »

Y croyait-il ? Il n’aurait pas trop le choix. Jamais on n’aurait considéré qu’il était assez important pour être suivi jusqu’en Chine par un membre du conseil. D’ailleurs, il avait continué à s’exprimer dans sa belle langue natale puisque l’homme devant lui était tout aussi Chinois que lui-même, même si expatrié.

« Tu avais besoin de moi ? »

Tout ce qui passait par la tête de Hua Feng présentement, c’était que s’il n’était pas en danger, alors Tian avait dû le reconnaître et avoir besoin de lui. Il ne connaissait pas encore le vampire. Ne lui avait parlé qu’une fois. Ne savait pas qu’il pouvait être très sociable…!




Xiao Hua Feng
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Invité
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Anonymous
Sam 11 Juil - 23:16
La Chine. Sa Chine natale et bien-aimée. Son pays d'origine, l'endroit où il est né, et où il a grandi. L'endroit qui jadis a abrité ses plus beaux souvenirs. L'endroit où il revient lorsqu'il se sent perdu. L'endroit où il possède de nombreux biens immobiliers qui lui permettent de continuer à gagner de l'argent pour financer ses nombreux projets humanitaires. La Chine, le berceau de sa vie, les fondations de son existence. Quand il doit y revenir, il y revient toujours avec plaisir.
Son fils a voyagé avec lui. Il est rentré dans son pays pour affaire. Il avait quelques papiers à régulariser. Il souhaitait également acheter un immeuble et ce qui nécessitait qu'il soit présent pour les détails administratifs et juridiques. Et enfin, il devait s'assurer de la bonne mise en place de travaux de rénovation dans plusieurs complexes lui appartement. Assez pour faire un voyage. Trop peu pour y rester longuement. Et puis, de toute façon, sa nouvelle place au conseil des cinq coréen va lui demander de rester de façon pérenne en Corée. Ce qui lui convient, même s'il a toujours une certaine difficulté à repartir.

Ce soir, il est seul. Il a réglé l'achat de l'immeuble devant plusieurs notaires, avec l'ancien propriétaire. Plutôt satisfait de son acquisition, il a déjà trouvé un architecte et une boite de travaux pour faire les changements nécessaires, une fois le délai de rétractation passé. Mais il ne sera plus là pour mettre tout en place, donc il préfère le faire pendant qu'il est ici. Tout sera lancé, il n'aura plus qu'à veiller à distance que tout progresse à bon rythme, en suivant le plan.
C'est donc après un rendez-vous avec l'architecte qu'il retrouve les rues de la ville pour rentrer dans l'appartement dans lequel ils sont installés pour ces quelques jours de vacances. Et alors qu'il marche tranquillement, il perçoit quelqu'un non loin. Et lorsqu'il s'approche, il se rend compte qu'il connaît cette personne. Un membre de l'Ordre donc il a déjà entendu parlé puisqu'il s'agit de celui qui a mis un terme aux souffrances du membre du conseil crucifié.

La curiosité de Tian le pousse à se demander ce qu'il fait en Chine, et il le suit plus ou moins consciemment tout en répondant à des messages sur son téléphone. La faim commence à le titiller, mais rien de méchant. Rien qui ne fasse de lui un danger. Même si cela n'est pas nécessaire, il porte un blouson assez épais censé le protéger du froid.
L'homme finit par s'arrêter, ce qui le pousse à s'arrêter aussi et à regarder devant lui. Il se rend compte qu'il n'est plus tellement où il pensait être et range son portable. Un grillage bloque la ruelle le forçant donc à se tourner et Tian s'avance un peu pour se dévoiler. L'humain parle. Le vampire sourit un peu en disant : « Xiao Hua Feng » le saluant d'une légère inclination, avant de se redresser alors qu'il constate la coïncidence. Est-il inquiet ? Son cœur semble plutôt stable, calme, il n'a pas l'air tendu. Pourtant, Tian lui dit : « Tu n'as pas à me craindre ». Ce qui est vrai. Tian ne lui fera pas de mal, même s'il avait une bonne raison de le faire, il ne le ferait sans doute pas et tenterait de trouver une meilleure solution.

Il pose une question. Et là, Tian est bien forcé de constater qu'il n'a absolument aucune raison d'être là et que cela ne va sûrement pas dans le sens de ce qu'il vient de dire. Il dit : « Je t'ai croisé par hasard ». Il marque une pause. Quoi dire ? Il finit par dire : « Je me demandais ce qui t'amenait en Chine... J'étais un peu curieux... Il paraît que c'est un défaut. À mon âge, je pense qu'il y a pire comme défaut... ». Il hausse un peu les épaules. Il le regarde simplement, mains dans les poches, sans aucune hostilité apparente. Il y a bien longtemps que l'agressivité et la violence ont déserté sa vie. Il tâche de suivre un chemin qui l'en tient éloigné le plus possible. C'est comme cela qu'il souhaite élever son fils.

Il le regarde un moment et dit : « J'ai appris pour l'agression dont tu as été victime. Est-ce que tu vas mieux ? ». La question est aussi sincère dans l'inquiétude qu'elle pourrait contenir que dans la bienveillance qui est la sienne. Il ne le lâche pas des yeux, mais est entièrement ouvert à son environnement, juste au cas où quelqu'un voudrait leur faire une mauvaise surprise.



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Xiao Hua Feng
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Xiao Hua Feng
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On a rainy night | Wang Tian Giphy-56de43d
Ven 24 Juil - 16:59

Au moins Hua Feng est-il rapidement fixé puisque Wang lui renvoie ses salutations sous la même forme : le vampire sait exactement à qui il s’adresse. L’homme a un signe de tête poli pour l’autre Chinois. Il n’était pas agent de liaison pour rien. S’il n’avait pas su comment s’adresser poliment aux vampires qu’il côtoyait et que ça ne lui était pas venu naturellement, il n’en serait pas là. Être sur ses gardes ne signifiait pas être impoli. Les deux étaient facilement dissociables. Par contre, s’il avait cru chaque vampire qui lui disait qu’il n’avait rien à craindre de lui, Hua Feng ne serait plus là pour rencontrer Wang Tian. Il se contente d’un bref signe de la tête positif pour le vampire, mais vu les circonstances de leur rencontre, il reste pour le moment à sa place et sur ses gardes, toujours prêt à récupérer de quoi se défendre s’il le fallait. Même en congé forcé, Hua Feng ne quittait pas ses armes.

L’autre homme soutient qu’il s’agissait d’un hasard. Que c’était la curiosité qui avait guidé ses pas. Ça laisse Hua Feng un instant silencieux. Mais, il pourrait s’interroger mille ans sur les raisons de la présence de Wang dans cette ruelle, ça ne changerait rien.

« Permets-moi de faire quelque chose. Je sors mon cellulaire. », demande Hua Feng, sa voix grave gardant son contrôle habituel, sans trémolo. Il n’était pas mort de peur, non plus. Il sort le cellulaire, comme prévu… et envoie un rapide texto à Ahn Jae. Pour lui dire qu’il venait de croiser Wang Tian dans une ruelle. Comme ça, s’il lui arrivait quelque chose… En fait, c’était plutôt que Hua Feng savait que l’homme en face de lui était très intelligent et ne ferait sûrement rien en se doutant que quelqu’un avait été informé. Il range le petit appareil. « Sortons d’ici, alors. »

Ce disant, il passe près de Wang pour sortir effectivement de la ruelle, mains dans les poches, sans se presser non plus. Il se tourne vers le vampire, histoire de s’assurer qu’il suivait bel et bien.

« Cet endroit a changé. Il n’y avait pas de grille lorsque je vivais ici. Je me suis fait coincer comme un débutant, n’est-ce pas ? »

Il essayait juste de détendre un peu l’atmosphère. Bien sûr, comme d’habitude, son ton était sérieux et égal à lui-même. Mais il essayait ! Quant à ses raisons d’être ici, Hua Feng n’allait clairement pas les citer toutes à Wang. Ça avait été difficile d’en parler à Yuan tant le grand Chinois n’était pas du genre à se confier. Alors un inconnu dont il ne serait sûrement jamais proche intimement ? Néanmoins, il peut offrir quelques pistes de départ.

« Ça faisait un peu plus de quatre ans que je n’avais pas mis les pieds en Chine. », explique-t-il, sans que ce soit une réponse directe, mais laissant la porte ouverte. « On dit que la curiosité tuera le chat. Mais en manquer peut aussi être un problème, je crois bien. J’aurais été curieux aussi de te croiser ici par hasard. La vie est parfois étrange. »

Il n’était pas certain qu’il l’aurait approché, toutefois. Mais Wang avait un naturel sociable que Hua Feng ne possédait que dans le cadre de son travail, quand il avait une mission précise à accomplir. Il fronce toutefois les sourcils alors que l’homme lui parle de l’agression qui avait eu lieu avant qu’il ne quitte Séoul et qui avait contribué à ce retrait de la vie active pour un temps. Il s’arrête même de marcher, tournant la tête pour regarder le membre du Conseil en silence… puis reprend lentement sa marche sous la pluie.

« Oui. Je vais mieux. », déclare-t-il sobrement. C’était vrai. Il ne voulait juste pas entrer dans les détails. « Est-ce que tu es natif de ce coin du pays, toi aussi ? »

Tout le monde n’était pas né à Beijing ! Surtout Wang, puisque Beijing n’existait pas quand il était né. Mais peut-être venait-il quand même de ce lopin de terre. Et surtout, ça lui permettait de rediriger le sujet de la conversation pour qu’il ne soit pas à son sujet.




Xiao Hua Feng
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Mar 28 Juil - 0:03
Tian se veut rassurant, autant que possible vu la situation. Il doit bien reconnaître que ça ne l'est peut-être pas autant qu'il ne le voudrait, mais bon. Il sait soigner ses entrées, à l'évidence. L'humain qui lui fait face est poli, mais il reste sur ses gardes. Et finalement, il l'avise qu'il va sortir son téléphone portable. Tian le regarde. Il suit le mouvement, sans être réellement tendu, mais assez vigilant pour pouvoir esquiver toute attaque. Yuan semble faire confiance à cet homme. Et Tian a confiance en le jugement de son ami. Il s'exécute et tapote rapidement avant de le ranger et de proposer de sortir d'ici. Alors qu'il remonte la ruelle, il passer près de lui. Un léger sourire amusé passe sur les lèvres alors qu'il le dépasse et se tourne pour s'assurer qu'il lui suit, ou pour vérifier qu'il ne l'attaque pas dans le dos, instinct de protection raisonnable en présence d'un vampire. Il pivote sur lui-même et sort à son tour de la ruelle alors que l'humain constate que l'endroit a changé et qu'il s'est fait avoir. Tian sourit un peu amusé et dit : « Les villes de nos jours sont tellement changeantes, que même en y vivant tous les jours, on peut tomber sur ce genre de mauvaises surprises... ». Il sourit un peu amusé et dit : « Heureusement, je n'avais pas l'intention d'en profiter... ». Ce n'est pas son genre. Tian est un pacifiste convaincu qui s'est retrouvé à devoir faire la guerre pour l'Ordre en règlement d'une dette qui n'aurait jamais dû être la sienne. Sans aucun mentor pour l'accompagner, dérobé par des chasseurs, comment aurait-il pu survivre ? Enfin... il sait que tous les nouveaux nés solitaires ne font pas de carnage, mais bon. Peut-on vraiment le leur reprocher ? Difficile à dire quand on n'a pas connu la douleur de la soif dévorante et si difficile à réprimer...

Tian questionne indirectement sur les raisons de son retour en Chine. Curieux, comme à son habitude. Même après presque 1800 ans de vie, il n'arrive toujours pas à réprimer cette curiosité qui est la sienne... Et il n'y arrivera probablement sans doute jamais. C'est ce qui fait de lui ce qu'il est aujourd'hui. Le membre de l'Ordre lui répond sans lui répondre, avant de parler de curiosité, justement. Cela tire un léger rire à Tian qui dit : « 4 ans ». Il est impressionné et ajoute : « Cela fait à peine un mois que je l'ai quittée, et me voilà déjà à revenir vers elle ». Il y a dans son ton quelque chose qui souffle qu'il plaisante. Et le sourire amusé qu'il affiche appuit cela sans difficulté. Tian est plus ouvert que l'autre chinois, c'est assez évident. Mais c'est aussi une plaisanterie, car Tian est capable de quitter son pays, et d'en vivre loin pendant un temps. Il a fait le tour du monde plusieurs fois, cela n'a jamais été un problème. Et il apprécie de découvrir d'autres cultures, ce qui explique qu'il envisage de rester quelques siècles en Corée. Il dit : « Eh bien, elle ne m'a pas encore tuée et pourtant... je l'aurais mainte fois mérité » à être trop curieux, s'entend. Il sourit encore. Il reconnaît être assez flatté d'entendre que lui aussi aurait suscité la curiosité de Xiao. Il marche à ses côtés, regardant la rue, plus que l'homme à ses côtés, juste par sécurité. Car il est presque sûr que l'homme n'est pas une menace, alors que ceux qui marchent dans la rue à leurs côtés, eux, sont de véritables inconnues.

Le vampire lui parle ensuite de l'attaque, lui demandant s'il va mieux. Tian est médecin, il s'inquiète forcément de sa santé, tout comme il s'inquiète de la santé d'à peu prêt toute personne blessée croisant son chemin. C'est dans sa nature. Il pousse cependant l'homme à s'arrêter, et à la regarder, sourcils légèrement froncés. A-t-il touché un point sensible ? Est-il surpris de la question ? Tian soutient son regard, sans jugement, ni moquerie, essayant même de ne pas être trop compatissant. Il n'a pas pitié de cet homme qu'il pense redoutable au combat et qu'il est très loin de sous-estimer. Mais il sait que sa compassion peut être prise pour de la pitié, alors il tâche de la refreiner un peu. Il reprend sa marche, sous la pluie, lentement. Tian n'est pas gêné par l'eau. Il ne l'a jamais été. Il aime ça, au contraire, même si à cette époque, la pluie n'est plus aussi pure que par le passé. Xiao finit par répondre. Mais Tian commence par dire : « Je ne voulais pas t'offenser, si c'est le cas, j'en suis désolé ». Il marque une pause puis dit : « J'imagine que l'Ordre ne manque pas de médecin, mais si jamais à l'avenir, tu avais besoin de quelque chose, je serais ravi de pouvoir t'aider ». Il ne le regarde pas. Yuan a pris la décision qui lui semblait la meilleure pour gérer tout cela. Et Xiao aussi, probablement. Mais Tian n'en reste pas moins médecin, et de temps en temps, il aime le rappeler, juste au cas où. Car cela pourrait tout aussi bien s'adresser à d'autres gens connus par Xiao ou à qui il viendrait en aide. Ou même à l'Ordre plus généralement dont les moyens sont parfois limités, malheureusement. Il ne s'attarde pas plus, car il comprend que Xiao n'est pas du genre à s'étendre dans les détails avec des inconnus. En même temps, il n'a pas tout à fait tort.

Il pose une question, qui livre une partie d'information sur lui au passage et Tian répond : « Non, je suis né dans le royaume de Shu... Donc, je suis originaire de la région de Sichuan, quelque part au sud de Chengdu ». Il esquisse un sourire un peu mélancolique en ajoutant : « C'est une très belle région, si tu n'as jamais eu l'occasion de la visiter, tu devrais. ». Il n'est pas très objectif à propos de cet endroit auquel il est très lié et qui gardera toujours une place toute particulière dans son cœur. Particulièrement dans cette demeure qui est toujours la sienne, et qui le sera toujours tant qu'il sera vivant. Et à sa mort, Leilani en héritera, décidant par lui-même de ce qu'il voudra en faire. Mais quand Tian ne se sent pas bien, qu'il est blessé et à besoin de se retrouver dans un lieu sûr, c'est toujours là-bas qu'il revient. Et dans ce village, il ne trouve aucun ennemi, car il a particulièrement contribué à son essor une fois enrichi, créant quelques commerces assez lucratifs pour faire vivre les habitants. Il questionne finalement : « Tu es d'ici donc ? Tu as grandi à Beijing ? » laissant sa curiosité suivre son cours, faisant confiance au membre de l'Ordre pour ne pas répondre s'il ne souhaite pas le faire.

À nouveau, la curiosité le gagne alors qu'il repense au téléphone de Xiao et demande : « As-tu prévenu quelqu'un de notre rencontre ? ». Il pose un regard curieux et un peu amusé sur lui, avant de regarder la rue à nouveau. Il constate simplement : « Cela serait sage et intelligent de ta part ». Il ne s'attendait pas à moins, vu l'estime que Yuan a pour lui. Et cela lui plaît. Tian ne peut s'empêcher d'être plus enthousiaste que de raison, appréciant grandement de faire de nouvelles rencontres et d'avoir l'occasion de faire connaissance avec Xiao même s'il est à l'évidence difficile de le faire.



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Xiao Hua Feng
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On a rainy night | Wang Tian Giphy-56de43d
Jeu 20 Aoû - 6:20

S’il n’a rien de particuliers à rajouter sur les villes mouvantes, voire vivantes, Hua Feng montre néanmoins son approbation des paroles de Wang par un bref signe de la tête. Même Séoul parfois réussissait encore à le surprendre. En quatre ans, il l’avait pourtant parcourue dans tous les sens à de multiples occasions. C’était comme si des buildings poussaient dans la nuit ou presque. Néanmoins, à ce que Wang ajoute, Hua Feng ne peut que faire remarquer :

« Heureusement. Je vends ma peau chèrement… »

Alors peut-être que ce n’était pas heureux que pour Hua Feng, allez savoir ! Ses pas se font lents, décontractés alors qu’il va nulle part. Du moins, ils n’ont pas de buts, même s’il s’assure de ne pas être subtilement influencé par le vampire quant à leur destination. L’autre homme lui parle de la Chine. Sous-entend son rapport avec elle. Ça le laisse un peu songeur. Hua Feng n’avait aucune raison de revenir, si ce n’était la nostalgie… et il était le genre d’homme qui ne laissait pas les émotions guider sa vie, en général. Il n’y pensait juste pas. Il ne jugeait pas ceux qui le faisaient, au contraire. C’était juste peu naturel pour lui.

« Peut-être que je devrais venir plus souvent. Mais je ne vois pas de raison pratique de le faire. », admet-il finalement. Son regard se pose un instant sur son compagnon nocturne alors qu’il demande : « Ton fils est venu avec toi ? »

À ce qu’il savait, le fils vampirique de Wang n’était pas Chinois, mais il devait avoir un certain attachement pour le pays quand même, non ? Quoi qu’il en soit, ce soir l’autre homme semblait seul, alors Hua Feng ne doutait pas que le petit soit parti de son côté s’il était venu ici lui aussi. Mais soudainement, les voilà qui s’arrêtent. Le membre de l’Ordre en fait de même, par respect ou par mimétisme, allez savoir. Quoi qu’il en soit, son regard se pose sur Wang, interrogateur… et il ne peut réprimer un bref mouvement des lèvres, qui se pincent un peu. C’est qu’il avait perçu le regard inquisiteur de l’autre sur sa silhouette et il savait très bien ce qu’il faisait. Mais si Hua Feng ne dit rien, c’est qu’il ne cherchait pas volontairement la confrontation, sans la craindre pour autant. Et Wang n’incitait pas non plus à ce sentiment, il fallait l’admettre.

Il attend que le bref exactement soit terminé avant de secouer négativement la tête.

« Je ne suis pas offensé. », déclare-t-il, sincère, même s’il avait tiqué malgré tout. Il en fallait plus pour le fâcher. Ce qui n’était toutefois pas une incitation à insister. « Les membres de l’Ordre se font soigner à l’hôpital. Mais on a bien pris soin de moi. Autant le personnel médical qu’un ami. »

Yuan. Voilà qu’encore une fois, il pensait à lui. Un ami. Il l’avait vraiment dit de façon naturelle. Pourtant, leur relation était infiniment plus complexe que ça. Bref, Hua Feng indique la rue qu’ils allaient emprunter avant de s’arrêter à Wang, histoire qu’ils reprennent leur marche, et il se remet lui-même en mouvement. Hua Feng ne crache pas sur les précisions modernes de l’endroit d’où venait son vis-à-vis lorsque ce dernier lui donne le nom de l’ancien royaume. Il visualisait dans quel coin du pays le vampire avait vu le jour.

« Je ne voyage pas beaucoup. Mais si l’occasion se présente un jour, j’y penserai. », promet Hua Feng. Il se rappelle qu’on disait que Wang avait des affaires dans le coin… et du coup, il demande : « Tu brasses aussi des affaires dans le Shichuan ou juste ici ? »

Il glisse à nouveau ses mains dans ses poches, levant le nez vers le ciel, profitant de l’air frais de la nuit. Il ne pourrait dire « pur ». L’air de Beijing était encore moins bon que celui de Séoul. Mais c’était une belle soirée, malgré la pluie qui lui battait le visage. Tant qu’à être déjà trempé jusqu’à l’os…

« Oui, j’ai grandi ici. », répond simplement Hua Feng, toujours avare de détails quant à sa vie personnelle. Par contre à la suite, il arque un sourcil, surpris peut-être. « Oui, je l’ai fait. C’est une menace ? »

Ça avait été demandé sur un ton égal à lui-même, égal à tout le reste. Mais il n’en restait pas moins qu’il attendait une réponse.




Xiao Hua Feng
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Dim 6 Sep - 16:32
Alors que Tian lui promet qu'il n'avait pas l'intention de profiter de la mouvance de la ville et des surprises rencontrées au détour de ruelles nouvellement fermées quand on ne s'y attendait pas, le membre de l'Ordre lui répond qu'il vend chèrement sa peau. Cela lui tire un léger rire et il répond : « Je n'en doute pas un seul instant ». C'est l'évidence même. C'est un membre de l'Ordre qui semble avoir une bonne réputation. En tout cas, il a l'estime de Yuan ce qui n'est probablement pas pour rien. Alors s'ils devaient s'affronter, Tian ne le sous-estimerait pas, c'est certain. Tian ne sous-estime personne. Il ne part pas du principe qu'il est plus fort que tout et tout le monde. Tian est un vampire, c'est clair, cela l'avantage forcément un peu. Mais il n'a pas pratiqué de combats depuis longtemps, et pourrait bien être surpris par un bon combattant. Et il ne se doute pas qu'il en soit un. Alors il préfère se méfier un peu.

Les voilà à parler de la Chine. Lui confie une certaine forme d'admiration pour Xiao d'être aussi longtemps loin de son pays natal. Et Xiao lui répond d'une certaine façon. Cette façon de dire qu'il n'a pas forcément besoin d'y retourner. Le mot pratique employé est difficile à traduire. Il est difficile de savoir s'il estime que plus rien ne l'appelle ici, ou s'il n'a pas de réelle raison de venir. Difficile même de définir s'il y a une différence entre ces deux choses. « S'il n'y en a pas, alors ce n'est pas forcément nécessaire ». Il sourit un peu et dit :« La Chine m'a vu naître, c'était il y a si longtemps... Il y aura toujours quelque chose pour moi ici, mais le reste du monde sait avoir ses charmes aussi ». À la question qu'il lui pose, Tian acquiesce. Oui, son fils est venu avec lui. Il ne va pas forcément détailler plus, puisqu'il ne veut pas exposer son fils à des risques inutiles. Tian fait confiance à Yuan et à son jugement. Mais il préfère se méfier un peu et se faire son propre avis. Leilani est en vadrouille et Tian ne veut pas qu'on lui tende un piège. Sans doute en fait-il trop. Sans doute s'attend t-il trop au pire.

Il pose ensuite une question sur son état. Sur sa santé. Parce qu'il s'inquiète forcément après tout, c'est un médecin. Et c'est quelqu'un de profondément humain. Mais il s'inquiète aussi d'avoir commis un impair et Xiao le rassure avant de donner quelques détails supplémentaires. L'espace d'un instant, il se demande s'il parle de Yuan. Et ça le fait un peu sourire. « Si tu as besoin de quelque chose, n'hésite pas. Je n'ai pas ouvert de cabinet, mais j'ai quand même du bon matériel ». Il réalise qu'il ne sait peut-être pas de quoi il parle, alors il dit : « Je suis médecin. Enfin, ça entre autres choses. J'ai raccroché les armes pour me tourner vers quelque chose de plus humain, c'est un peu ironique selon certains... ». Tian se considère encore comme un humain. Mais il sait que certaines personnes ne le considèrent plus comme tel. Cela ne l'affecte pas en général. Mais du coup, il relève tout de même l'ironie de la situation avec un sourire amusé.

Ils parlent de la Chine, de sa région d'origine. Parfois, cela lui manque. Parfois, il se dit qu'il ne devrait plus la quitter, cette région. Mais il se rappelle aussi du reste du monde. De tout ce qu'il y a à faire ailleurs. De toute cette vaste étendue de terres et de cultures à découvrir. Il entend la réponse du membre de l'Ordre et il lui dit : « Tu sais... J'imagine que ce n'est pas forcément ta priorité, mais parfois, ça fait du bien de voyager et de prendre du temps pour soi... ». Oh, bien sûr, il sait que les choses ne sont pas aussi simples et que l'Ordre ne fournit pas des salaires immenses. Ce qui ne fait que le rendre encore plus incroyable, d'une certaine façon. Il répond ensuite : « Dans toute la Chine ». Il ne détaille pas plus que ça. Mais ses affaires ne l'intéressent pas plus que cela. L'immobilier ne lui permet que de brasser des fonds pour pouvoir financer des projets humanitaires et sociaux. C'est une bonne chose.

Il répond qu'il a grandi ici. Tian demande avec curiosité : « Comment est cette ville ? ». Après tout, il ne la connaît pas réellement. Alors autant poser la question. Il connaissait cette zone avant ses grandes évolutions. Il y a quelques siècles, mais il ne se contente toujours que de passage. Il sourit un peu.
Puis lorsqu'il lui demande s'il a prévenu quelqu'un de cette rencontre, il répond. Et il demande si c'est une menace. Il éclate de rire, un vrai rire sincère et dit : « Une menace ? Venant de moi ? Alors quoi Yuan ne t'a vraiment pas parlé de moi ? Je ne veux pas croire qu'il n'ait pas mentionné quelque chose en rapport avec mon caractère très pacifique ». Il le regarde et propose : « Et si on s'abritait pour boire un verre ? Ou un thé, peu importe ». Pas qu'il n'aime pas la pluie, bien au contraire. Mais au bout d'un moment, c'est un peu lassant. Ils sont déjà mouillés, et Xiao se remet de blessures probablement assez importantes, pas besoin de lui en rajouter encore une couche.



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On a rainy night | Wang Tian Giphy-56de43d
Lun 5 Oct - 4:28

Hua Feng répond à Wang d’un simple signe de la tête, remerciement silencieux. Celui de ne pas le sous-estimer. Même s’il fallait admettre que celui qui sous-estimait partait généralement avec un sérieux handicap. Ce n’était donc pas que négatif… Mais Hua Feng ne pensait pas qu’ils finiraient la nuit en sang… alors encore préférait-il que le membre du conseil ne le prenne pas de haut. Sa fierté saurait s’en relever. Mais il en avait une, bien qu’il soit souvent plus impassible qu’autre chose, même au moment de la défendre. Il acquiesce une nouvelle fois. Parce que lui aussi croyait que voyager sans raison concrète, c’était un peu perdre son temps. Au moins étaient-ils deux. À moins que Wang n’abonde en son sens que par politesse. Il balaie de son regard sombre la rue dans laquelle ils se trouvaient, songeur aux paroles du vampire. Il y avait aussi quelque chose de lui ici. Il ne savait juste pas à quel point il aimait ce qu’il y avait laissé.

« J’ai trouvé un bout de Chine à Séoul. », convient-il simplement, sans en rajouter davantage. Il pensait à Yuan en le disant. C’était peut-être sentimental. Surtout pour lui. Mais être loin de Séoul, loin du vampire, le lui faisait réaliser. « On reste malgré tout attaché à ce pays. Les étrangers ne peuvent pas comprendre. Il faut y naître pour savoir. »

Là-dessus, Wang et lui pouvaient sûrement être d’accord. La Chine était malmenée de par le monde. Pas parfaite, mais pas aussi imparfaite qu’on voulait bien le leur faire croire non plus… C’était bien plus compliqué que ça. Il lève une main ensuite, histoire d’assurer en silence que tout allait bien. Il n’avait besoin de rien, ni de personne. Il était rare que Hua Feng fasse les choses autrement que par lui-même. Se soigner avait justement été une exception. Il en avait vraiment eu besoin. Mais c’était terminé, à présent. Par contre à la suite, il est songeur un instant.

« Et que reste-t-il du guerrier ? », demande-t-il, son regard marron se posant sur son interlocuteur, curieux. « Il reste toujours quelque chose. »

On ne pouvait fermer les yeux sur ce qu’on avait été. Changer, oui. Mais pas une métamorphose complète. Il devait forcément y avoir quelque chose de gravé en Wang de cette époque. Le guerrier devait forcément encore être là, en quelque part, même s’il voulait peut-être le nier.

« Je ne crois pas que ce soit ironique. »

Mais Hua Feng ne rajoute rien à ce sujet. Il plonge ses mains dans ses poches, baisse un peu plus la tête pour éviter la pluie, maintenant désagréable. Froide, qui tombait trop rapidement. Il commençait à être vraiment trempé, maintenant. Il a un bref « hm » à la suite des propos du membre du conseil, mais secoue négativement la tête.

« Je n’en éprouve pas le besoin. Je vis simplement. Je n’en ai de toute façon pas les moyens. », assure-t-il. Aussi bien ne pas se faire mal avec quelque chose qu’il ne pouvait atteindre. Pas que ça l’intéresserait davantage même s’il pouvait se le permettre. Mais Wang étant apparemment un globe-trotteur, il demande : « Tu es allé dans des pays africains ? Comment est la société vampirique là-bas ? »

Il donnerait ces renseignements à Ariane, si renseignements il y avait. Quant à la ville, Hua Feng a un moment de silence… puis convient :

« Pauvre. Les quelques riches la mènent. Mais c’est ma ville. »

Malgré tous ses défauts. Il a un bref regard pour Wang à la suite, un rictus bref étirant ses lèvres. Sérieusement ?

« Ah… alors tu y crois toi-même. Tu es devenu ce grand pacifiste qui a renié son passé. Ça va être douloureux quand il va revenir te mordre. », fait remarquer Hua Feng. Il apprécie la proposition. Aller boire quelque chose, n’importe quoi. Pourquoi pas. Il entre d’ailleurs dans le premier endroit du genre qu’ils croisent : un café. Il se secoue un peu en grognant à l’entrée, glissant une main dans son visage, puis dans ses cheveux pour en retirer l’eau. « On n’est jamais complètement pacifiste. Ou complètement belliqueux. Je me méfie encore plus de toi sachant que tu as décidé d’ignorer à ce point ce que tu as été. Je suis un homme prudent. Raison pour laquelle je suis encore en vie. »

Ne lui en déplaise.




Xiao Hua Feng
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